ECS consolide sa position de leader du marché de la logistique de la chaîne d’approvisionnement et du transport intermodal après avoir réussi l’intégration de 2XL

Zeebruges, 2 Avril 2021 - ECS, leader du marché de la logistique de la chaîne d’approvisionnement et des solutions de transport intermodal, renforce sa position sur le marché européen de la logistique. Quatre ans après la reprise de son concurrent 2XL, l’entreprise a réussi sa transition vers une société unifiée, et ce malgré la crise tumultueuse du Brexit. ECS se positionne clairement comme une passerelle commerciale entre l’Union européenne et le Royaume-Uni, et perçoit des possibilités de croissance ailleurs en Europe. La barre des 10 000 conteneurs propres a déjà été atteinte.

ECS a lancé ses activités logistiques à Zeebruges au milieu des années 1990, et l’entreprise est désormais active dans 35 pays. La reprise de la société 2XL également établie à Zeebruges a permis de consolider la position d’ECS dans ce port de la mer du Nord, en plus de son deuxième siège à Venlo, maillon de la chaîne logistique aux Pays-Bas. Cela rend les relations avec le Royaume-Uni encore plus importantes. « En raison du Brexit, nous nous sommes davantage spécialisés dans le commerce avec le Royaume-Uni », nous raconte Pieter Balcaen, co-PDG d’ECS aux côtés de Kelly De Dijcker. « Maintenant que la reprise de 2XL est achevée et que nous avons intégré et unifié tous les départements, nous avons consolidé notre position de passerelle commerciale entre le Royaume-Uni et l’Union européenne avec deux produits : l’optimisation de la chaîne d’approvisionnement et des cargaisons complètes intermodales. »

" Maintenant que la reprise de 2XL est achevée et que nous avons intégré et unifié tous les départements, nous avons consolidé notre position de passerelle commerciale entre le Royaume-Uni et l’Union européenne "
Pieter Balcaen, CEO

Une reprise de cette ampleur n’était pas chose aisée, concède Balcaen. « De nombreuses acquisitions échouent ou aboutissent à une collaboration entre deux acteurs ou plus, sans qu’ils soient unifiés. L’intégration de 2XL a été un succès, malgré les circonstances difficiles engendrées par le Brexit. » Au cours de la reprise, nous avons temporairement utilisé le nom ECS2XL, mais aujourd’hui, nous faisons résolument le choix de ECS. « Nous voulions un nom de marque unique, derrière lequel nous pouvions nous présenter comme entreprise renforcée et unie. Finalement, à la suite d’un processus de réflexion approfondi (et par moments fort créatif), nous avons opté pour ECS, un nom bien établi, synonyme de solidité et de confiance », précise Balcaen.

Diversification et croissance

Le succès de la reprise augure déjà de plusieurs avantages pour ECS : en premier lieu, l’association de collaborateurs talentueux et motivés, qui nous permet d’offrir un service plus diversifié. « Nous pouvons désormais expédier des cargaisons plus efficacement, consolider et offrir des solutions globales, au marché de détail britannique et aux grands expéditeurs européens, par exemple. Cela va des livraisons sur mesure pour des supermarchés à la livraison de marchandises en vrac via notre transport ferroviaire interne ou des cargaisons complètes intermodales individuelles. Nous avons élargi non seulement nos solutions de chaîne d’approvisionnement, mais aussi nos services de transport intermodal en porte à porte. Nous misons sur le stockage, les modes de transport novateurs et les services de transbordement. »

La reprise de 2XL étant achevée, ECS compte bien se développer dans le reste de l’Europe. Plus près de son siège, à Zeebruges, la fusion des ports de Zeebruges et d’Anvers offre des possibilités pour ECS, une intégration que Pieter Balcaen perçoit comme la refonte de sa propre entreprise. « Je vois de grands avantages à cette fusion. Pour nous, Anvers est une plaque tournante ferroviaire importante qui offre de bonnes liaisons vers le reste de l’Europe. En outre, l’échelle du port d’Anvers est plus importante. Depuis l’annonce de la fusion, nous avons vu davantage de navires immenses accoster chez nous pour décharger des marchandises. Naviguer jusqu’à Anvers coûte du temps, qui peut être économisé en déchargeant à Zeebruges. Nous sommes impatients de livrer ces cargaisons sur tout le continent, afin de poursuivre l’optimisation de notre activité : la responsabilité sociale des entreprises reste toujours primordiale à nos yeux. »

10 000 conteneurs

À peine renforcée, ECS peut déjà célébrer un accomplissement : actuellement, la flotte de l’entreprise compte 10 000 conteneurs, dont 2 000 conteneurs réfrigérés, que l’on appelle reefers, destinés au marché de la logistique sous température dirigée. « Si l’on m’avait dit ça il y a dix ans, je n’y aurais pas cru », nous glisse un PDG réjoui. « Nous restons engagés en faveur d’un transport socialement responsable à l’avenir, en évitant le plus possible de transporter des conteneurs vides et en transférant autant de conteneurs que possible de la route vers les chemins de fer. Nous avons déjà pu économiser quelque 70 millions de kilomètres, soit plus de la moitié de notre nombre total de kilomètres. Le fait d’utiliser le chemin de fer nous permet de réduire considérablement nos émissions de CO2, de pas moins de 80 %. »